[fic] bras droit de la Mafia
Par : joejojochba2
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 12
Publié le 27/01/09 à 16:36:30 par joejojochba2
Chapitre 11: L'hopital
18h49, je stressait, j'avais déja bu 2 casa et demie, j'avais chaud, mon père étudiait les plans avec Vito. 2 flics à l'accueil et un brigadier à l'entrée de la chambre, nous disposions d'une mat-49 au cas ou sa tournerai mal, mon père avait opté pour un pistolet HK 9mm, Aldo preferat le berreta quand à moi j'avais pris un glock 17.
Le plan était simple, je devais m'infiltrer avec Aldo pour couvrir ses arrières, le but était de ne pas tirer un seul coup de feu, pas un bléssé, dans n'importe quel camp. Mon père nous attendrait dans la voiture, mais il ne fallait pas échouer.
18h58
J'etais en sueur, je vérifiai sans cesse mon arme, Vito nous souhaitat bonne chance avant de nous accompagner vers la Ford Mondeo qui nous attendait.
-C'est parti! S'ecria mon père en démarant la voiture.
Pendant qu'on roulait vers Bastia, je regardais les paysages défiler, la nuit tombait.
-On y est.
J'entendis le frein à main et le moteur s'arreter.
La cloche sonnait les 20 heures, plus question de reculer.
Je vis la 205 de la gendarmerie avec les 2 hommes à l'accueil.
La place était vide hormis quelques pigeons, la tension était à son comble, cela faisait bien 2 minutes que nous attendions.
-Alors? Finit par dire Aldo
-Alors je vais faire diversion, pendant ce temps la vous passez vite fait par dérrière. Apres ces mots, mon père sortit et rentrat dans l'hopital, il parlait aux 2 gendarmes.
-Ok gamin! On y vas!
Nous sortîmes puis nous faufilâmes en trottand dérrière l'hopital, une porte de service s'y trouvait. Nous entrâmes, l'arme au poing avec une lampe torche, nous étions tout vétus de noir et avions des cagoules.
Nous avancèrent rapidement dans les couloirs à moitié éclairés, son frere se trouvait au premier étage, il fallait faire le moins de bruit possible, des infirmieres et des medecins de garde étaient encore dans l'hopital.
Les escaliers, nou les montâmes silencieusement, arrivés au bout, Aldo sortit sa tête dans le couloir, puis se repliat aussitôt, il me fit signe que le brigadier était au bout, il fallait le surprendre.
-Bouge pas!
Le garde sursautat et répandit son café sur ses genous, il eu à peine le temps de comprendre qu'Aldo l'avait déja assomé.
Il entrat dans la chambre, nous y vîmes un homme avec un large pansement à la place du bras, et relié à tout un tas de fils. Aldo ne put retenir une larme en voyant son frere de sang dans ce triste état.
-Philipo? Philipo. Philipo!
L'homme sursautat et s'agitat
-Ne t'inquietes pas, esso è me. Il se calmat rapidement.
-A...Aldo?
-Oui, ça c'est mon camarade, on vas te sortir de la, tu peux marcher?
-Oui...Oui, comment ètes vous entrés?
-T'inquiètes, tout est prévu, quelqu'un nous attend en voiture, c'est notre nouveau Don, allez viens.
Nous aidâmes Philipo à se lever et à faire quelques pas.
Une fois arrivés aux escaliers, mon portable vibrat.
-Allo?
-Allo? c'est papa, Vito vient de m'appeler, dans l'hopital, il y a un membre des Feloni, un lieutenant, il s'est pris une balle cet aprèm, si tu vas lui rendre visite, on aura une bonne prime, à priori il n'a pas de surveillance rapprochée, il est dans la chambre 32.
-Ok, Aldo arrive, je m'en occupe
-Quest-ce qu'il se passe? Dit Aldo
-Un Feloni est ici, faut que je lui regle son compte, descend avec ton frere, je reviens tout de suite.
Je couru vers au 3eme étage, arrivé à destination, je me trouvais dans un couloir enore moins bien éclairé.
Porte 32, j'entras et vis un homme avec un bandage au bras, il dormait paisiblement, je pus voir qu'il avait un alliance !
Mais il fallait le faire, je pris mon glock et son oreiller, je le mis contre sa tête, il commançait à se réveiller, sans perdre de temps, je mis mon arme contre l'oreiler sur le visage de l'homme qui se débatait et tira.
Le coup de feu n'avait pas fait plus de bruit qu'un petit bruit sourd, j'enlevai 'oreiller et vis un trou d'ou coulait plusieurs filets de sang, la balle avait traversé le crâne et avait explosé sa cervelle sur le dessus du lit.
Je me précipitat dehors, mais j'avais hommis un détail.
-Docteur! Docteur! le patient de la chambre 11 s'est enfuit et un agent est bléssé.
-schifezza! Ils vont passer l'alerte!
Je couru le plus vite que possible, dans la voiture, mon père, Aldo et Philipo m'attendaient, Aldo avait la mat-49 e main.
-Hé vous la!
Les 2 gendarmes avaient déja dégainé
-Cours! Vite!
je couru sous les échanges de tirs, la mitraillete me claquait les oreilles, des étincelles et débris virevoltaient des voitures qui se faisaient tirer dessus, les 2 genddarmes arrosaient la voiture, mon père démmarat en trombe sous les rafales et coups de feu, un gendrame tombat à terre en se tenant la jambe.
5 minutes plus tard, 2 voitures de polce nous pousuivaient, Aldo les arrosat copieusement, l'une quittat la route pour aller dans le fossé, l'autre s'arretet au moment ou le moteur pris feu.
En à peine 10 minutes, nous arrivâmes à la propriété de Vito.
-Venez! J'ai entendu les coups de feu, rentrez, mes hommes se chargent de la voiture.
-Monsieur! Les flics! Y'en a une dizaine dehors!...
18h49, je stressait, j'avais déja bu 2 casa et demie, j'avais chaud, mon père étudiait les plans avec Vito. 2 flics à l'accueil et un brigadier à l'entrée de la chambre, nous disposions d'une mat-49 au cas ou sa tournerai mal, mon père avait opté pour un pistolet HK 9mm, Aldo preferat le berreta quand à moi j'avais pris un glock 17.
Le plan était simple, je devais m'infiltrer avec Aldo pour couvrir ses arrières, le but était de ne pas tirer un seul coup de feu, pas un bléssé, dans n'importe quel camp. Mon père nous attendrait dans la voiture, mais il ne fallait pas échouer.
18h58
J'etais en sueur, je vérifiai sans cesse mon arme, Vito nous souhaitat bonne chance avant de nous accompagner vers la Ford Mondeo qui nous attendait.
-C'est parti! S'ecria mon père en démarant la voiture.
Pendant qu'on roulait vers Bastia, je regardais les paysages défiler, la nuit tombait.
-On y est.
J'entendis le frein à main et le moteur s'arreter.
La cloche sonnait les 20 heures, plus question de reculer.
Je vis la 205 de la gendarmerie avec les 2 hommes à l'accueil.
La place était vide hormis quelques pigeons, la tension était à son comble, cela faisait bien 2 minutes que nous attendions.
-Alors? Finit par dire Aldo
-Alors je vais faire diversion, pendant ce temps la vous passez vite fait par dérrière. Apres ces mots, mon père sortit et rentrat dans l'hopital, il parlait aux 2 gendarmes.
-Ok gamin! On y vas!
Nous sortîmes puis nous faufilâmes en trottand dérrière l'hopital, une porte de service s'y trouvait. Nous entrâmes, l'arme au poing avec une lampe torche, nous étions tout vétus de noir et avions des cagoules.
Nous avancèrent rapidement dans les couloirs à moitié éclairés, son frere se trouvait au premier étage, il fallait faire le moins de bruit possible, des infirmieres et des medecins de garde étaient encore dans l'hopital.
Les escaliers, nou les montâmes silencieusement, arrivés au bout, Aldo sortit sa tête dans le couloir, puis se repliat aussitôt, il me fit signe que le brigadier était au bout, il fallait le surprendre.
-Bouge pas!
Le garde sursautat et répandit son café sur ses genous, il eu à peine le temps de comprendre qu'Aldo l'avait déja assomé.
Il entrat dans la chambre, nous y vîmes un homme avec un large pansement à la place du bras, et relié à tout un tas de fils. Aldo ne put retenir une larme en voyant son frere de sang dans ce triste état.
-Philipo? Philipo. Philipo!
L'homme sursautat et s'agitat
-Ne t'inquietes pas, esso è me. Il se calmat rapidement.
-A...Aldo?
-Oui, ça c'est mon camarade, on vas te sortir de la, tu peux marcher?
-Oui...Oui, comment ètes vous entrés?
-T'inquiètes, tout est prévu, quelqu'un nous attend en voiture, c'est notre nouveau Don, allez viens.
Nous aidâmes Philipo à se lever et à faire quelques pas.
Une fois arrivés aux escaliers, mon portable vibrat.
-Allo?
-Allo? c'est papa, Vito vient de m'appeler, dans l'hopital, il y a un membre des Feloni, un lieutenant, il s'est pris une balle cet aprèm, si tu vas lui rendre visite, on aura une bonne prime, à priori il n'a pas de surveillance rapprochée, il est dans la chambre 32.
-Ok, Aldo arrive, je m'en occupe
-Quest-ce qu'il se passe? Dit Aldo
-Un Feloni est ici, faut que je lui regle son compte, descend avec ton frere, je reviens tout de suite.
Je couru vers au 3eme étage, arrivé à destination, je me trouvais dans un couloir enore moins bien éclairé.
Porte 32, j'entras et vis un homme avec un bandage au bras, il dormait paisiblement, je pus voir qu'il avait un alliance !
Mais il fallait le faire, je pris mon glock et son oreiller, je le mis contre sa tête, il commançait à se réveiller, sans perdre de temps, je mis mon arme contre l'oreiler sur le visage de l'homme qui se débatait et tira.
Le coup de feu n'avait pas fait plus de bruit qu'un petit bruit sourd, j'enlevai 'oreiller et vis un trou d'ou coulait plusieurs filets de sang, la balle avait traversé le crâne et avait explosé sa cervelle sur le dessus du lit.
Je me précipitat dehors, mais j'avais hommis un détail.
-Docteur! Docteur! le patient de la chambre 11 s'est enfuit et un agent est bléssé.
-schifezza! Ils vont passer l'alerte!
Je couru le plus vite que possible, dans la voiture, mon père, Aldo et Philipo m'attendaient, Aldo avait la mat-49 e main.
-Hé vous la!
Les 2 gendarmes avaient déja dégainé
-Cours! Vite!
je couru sous les échanges de tirs, la mitraillete me claquait les oreilles, des étincelles et débris virevoltaient des voitures qui se faisaient tirer dessus, les 2 genddarmes arrosaient la voiture, mon père démmarat en trombe sous les rafales et coups de feu, un gendrame tombat à terre en se tenant la jambe.
5 minutes plus tard, 2 voitures de polce nous pousuivaient, Aldo les arrosat copieusement, l'une quittat la route pour aller dans le fossé, l'autre s'arretet au moment ou le moteur pris feu.
En à peine 10 minutes, nous arrivâmes à la propriété de Vito.
-Venez! J'ai entendu les coups de feu, rentrez, mes hommes se chargent de la voiture.
-Monsieur! Les flics! Y'en a une dizaine dehors!...
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